Voici l'histoire d'un album à part dans la discographie d'Emilie Simon. Pourtant, à première vue, on s'attendait à se retrouver en territoire connu, puisque ce disque est la bande originale du Film 'La Délicatesse', un exercice qu'elle connaît bien pour avoir réalisé par le passé la B.O. de La Marche De L'empereur. Sauf que ce film-là est complètement différent, et qu'il fait étrangement écho à sa vie personnelle.
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LOU LESAGE – Under My Bed (2011)
Pour être franc avec vous, on n'attendait pas grand chose de la sortie de l'album de Lou Lesage, que l'on a pu voir récemment dans le film LOL. D'ailleurs on ne l'attendait pas du tout. Mais c'était sans savoir que la demoiselle avait pourtant grandi bercée par la Pop et le Rock insufflés par ses parents Pierre-Emery et Gil Lesage, les deux membres du groupe Ultra Orange.
COCOON – Where The Oceans End (2010)
On peut dire que ces deux-là se sont trouvés et se sont fait un nom : d'abord révélé par une compilation, Cocoon a d'abord lentement puis subitement beaucoup plus rapidement gravi les échelons du succès. Une succès aussi bien public que critique : 'My Friends All Died In A Plane Crash' était un premier album qui donnait ses lettres de noblesses à la Folk 'Made in France'.
ARCADE FIRE – The Suburbs (2010)
Enfin le voilà... Dire que le nouvel album d'Arcade Fire était très attendu est un euphémisme. Rarement un groupe n'aura suscité autant d'intérêt, et atteint le statut de 'culte' en l'espace de 2 albums seulement qui, il faut bien l'avouer, sont à la hauteur de leur réputation : la verve de 'Funeral' et la beauté solennelle de 'Neon Bible'. Deux réussites totales... Alors, Arcade Fire allait-il confirmer le bon vieil adage 'jamais deux sans trois'?
EMILIE SIMON – Interview – Paris, vendredi 18 septembre 2009
C’était l’un des retours les plus attendus de l’année. La ‘Big Machine’ d’Emilie Simon s’est mise en marche dès le 17 septembre lors d’un concert au Point Ephémère à Paris. Le lendemain nous avons eu le plaisir de la rencontrer dans un charmant hôtel parisien afin de parler plus en détail de la conception de son nouvel album et de la ville où il a grandi : New-York.
EMILIE SIMON – The Big Machine (2009)
Pour avoir suivi et apprécié son parcours depuis plusieurs années maintenant, on peut affirmer que ce que l’on aime chez Emilie Simon, c’est qu’elle nous surprenne, ce qu’elle a très bien fait depuis ses débuts en évitant toujours la répétition. Restait à savoir si après 3 albums – en incluant la B.O. de ’La Marche de L’Empereur’ – celle-ci serait encore une fois capable de se renouveler avec la même réussite.
EMILIE SIMON – L’Olympia – Paris, mardi 19 septembre 2006
![[Live Report] EMILIE SIMON - L'Olympia - Paris, mardi 19 septembre 2006](https://www.starsareunderground.com/wp-content/uploads/2006/09/P1010520-326x235.jpg)
[Live Report] EMILIE SIMON – L’Olympia – Paris, mardi 19 septembre 2006
Enfin ! Depuis le temps que l’on attendait ce concert, il a fini par arriver ! En effet, pour des raisons surtout logistiques, cela fait plusieurs fois de suite que l’on a manqué les concerts d’Emilie Simon lors de ses premières tournées. Grosse frustration… Et puis la délivrance, ce 19 septembre où je suis ressorti de l’Olympia émerveillé, le genre de concert dont on repart avec les yeux qui brillent et des étoiles plein la tête et, surtout, dont on se souvient longtemps.
EMILIE SIMON – Végétal (2006)
Après nous avoir entraînés sur la banquise avec la beauté glaciale de sa ‘Marche De L’Empereur’, intermède ‘ciné’ qui avait suivi son premier album, Emilie Simon est de retour avec un nouvel opus plus printanier. ‘Une fleur de saison’, comme le laisse entendre le premier single, et un esprit très ‘nature’ d’où ce titre, ‘Végétal’. Et comme on pouvait s’y attendre, elle n’a eu aucun mal à faire fondre la glace.
