The Courtneys est un trio originaire de Vancouver qui a vu le jour en 2013 et composé de 3 sœurs, et comme d’autres formés de la même manière (The Staves, Haim) quoi de plus simple que d’utiliser son nom de famille comme nom de groupe ? On suppose que c'est le cas, mais elles n’ont musicalement rien à voir avec les deux exemples cités précédemment.
Chroniques
ENTRANCE – Book Of Changes (2017)
Derrière le nom d’Entrance se cache Guy Blakeslee. Originaire de Baltimore, ce troubadour dont le cœur oscille entre Folk et Lo-Fi sort aujourd’hui son premier album solo. Pour la petite histoire, le groupe Entrance (The Entrance Band) a déjà une bonne dizaine d’année, et continue d’exister, mais son fondateur qui a gardé ce pseudonyme pour lui tout seul.
METHYL ETHEL – Everything Is Forgotten (2017)
Après avoir dévoilé son univers Psychédélique sur un premier album sorti l’an dernier, Methyl Ethel n’a pas chômé et revient déjà avec « Everything Is Forgotten », le successeur de « Oh Inhuman Spectacle ». Et très rapidement on s’aperçoit que le groupe a évolué et qu’il a vite décidé de dépasser le style musical dans lequel il s'était engagé à ses débuts pour nous proposer une collection de chansons plus Pop, dansantes et variées.
JENNIE ABRAHAMSON – Reverseries (2017)
C’est totalement de notre faute, mais nous avions un peu perdu de vue Jennie Abrahamson ces dernières années, non pas en raison d’une éventuelle inactivité, mais parce que son précédent album « Gemini Gemini », qui marquait également un virage un peu plus électronique, est passé relativement inaperçu en France en 2014. Ironie du sort, c’est pourtant à ce moment-là que la carrière de la suédoise a vraiment bénéficié d’un tremplin grâce à une tournée européenne en première partie de Peter Gabriel, puis de Peter, Björn & John.
FINDLAY – Forgotten Pleasures (2017)
Enfin ! Voici un album qui s’est fait beaucoup attendre ! Findlay n’a que 24 ans mais ça fait bien longtemps qu’elle n’est plus une nouvelle venue. Depuis au moins 4 ans la Mancunienne met le feu aux salles de concerts grâce à ses shows dantesques et ses quelques EPs non moins incendiaires marqués, entre autres, par les tubes « Greasy Love » et « Off & On » qui ne pouvaient pas être absents de ce disque.
PAMELA HUTE – Highline (2017)
C’était il y a 8 ans déjà : en 2009, on aurait juré que Pamela Hute allait devenir la grosse révélation Rock made in France. Tous les éléments semblaient réunis pour faire de ce projet une réussite avec « Turtle Tales From Overseas », un disque ambitieux, accrocheur, original… On se souvient même l’avoir vue à l’époque dans un reportage d’Envoyé Spécial. « Jeune et beaucoup de talent » disaient-ils. Ils n’avaient pas tort : en 2013 rebelotte : l’album « Bandit » enfonce le clou.
MOLLY BURCH – Please Be Mine (2017)
Molly Burch est une chanteuse originaire de Los Angeles aujourd’hui basée à Austin au Texas. Elle a littéralement baigné dans l’art durant toute son enfance, avec un père écrivain et producteur et une mère directrice de casting, avant de partir à Asheville pour suivre un programme « Jazz Performance » à l’University of North Carolina.
AMY MACDONALD – Under Stars (2017)
Amy Macdonald, c’est l’Ecossaise aux 5 millions d’albums vendus, un chiffre vertigineux, presque irréel à notre époque, surtout dû aux ventes phénoménales de son premier album « This Is The Life » il y a maintenant 10 ans déjà. Tout est sans doute arrivé trop vite pour elle; alors qu’elle n’avait pas encore la vingtaine ce succès qu’elle n’attendait pas lui est tombé dessus sans prévenir et a probablement mis une énorme pression sur ses épaules.
JESCA HOOP – Memories Are Now (2017)
Depuis le jour où nous avons fait la connaissance de Jesca Hoop avec la découverte de son très bel album « Hunting My Dress » en 2010, nous avons toujours été charmés par la variété de ses compositions et sa capacité à se renouveler, que ce soit rétrospectivement depuis « Kismet » son 1er album sorti en 2007, à l’excellent « The House That Jack Built » qui avait fini très haut placé dans notre classement 2012.
COMMUNIONS – Blue (2017)
Communions, voilà un groupe que l’on aurait juré voir venir de quelque banlieue britannique : Londres ? Manchester ? Sheffield? Liverpool ? Non ! Copenhague ! Comme leur musique ne l’indique pas, nous avons affaire à un jeune quatuor Danois qui a tout d’un groupe anglais, et quelques touches américaines aussi.