Retour en photos sur le concert de Jesca Hoop à la Maroquinerie, Paris, le lundi 29 mars 2010 dans le cadre du festival Les Femmes S'en Mêlent. Avec John & Jehn et Trash Kit. Lire le compte-rendu
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ARCADE FIRE – The Suburbs (2010)
Enfin le voilà... Dire que le nouvel album d'Arcade Fire était très attendu est un euphémisme. Rarement un groupe n'aura suscité autant d'intérêt, et atteint le statut de 'culte' en l'espace de 2 albums seulement qui, il faut bien l'avouer, sont à la hauteur de leur réputation : la verve de 'Funeral' et la beauté solennelle de 'Neon Bible'. Deux réussites totales... Alors, Arcade Fire allait-il confirmer le bon vieil adage 'jamais deux sans trois'?
UNKLE – Where Did The Night Fall (2010)
UNKLE est un nom très familier pour les amateurs de Trip Hop, et beaucoup d'autres. Un marque de fabrique aussi, comme le sont devenus des groupes comme Massive Attack ou Portishead. A vrai dire on n'avait pas encore vraiment pris conscience du fait que ce 'groupe', mené par James Lavelle, avait déjà 16 années d'existence.
NADA SURF – Festival Fnac Indétendances, Paris, samedi 31 juillet 2010
THE FUTUREHEADS – The Chaos (2010)
Il y a deux ans les Futureheads accouchaient dans la douleur de l'album 'This Is Not The World', après avoir été lâchés par leur label, et décidaient de foncer tête baissé dans un Rock sans concession, quoiqu'en pense l'industrie musicale et/ou le grand public. Le fait qu'ils sont encore là aujourd'hui est sans aucun doute la meilleure réponse à leur détracteurs, car bon an mal an, le quatuor de Sunderland a fait plus que survivre: il réussit le pari de la longévité et surtout celui de l'efficacité.
MOTHER MOTHER – O My Heart (2010)
Ce n'est pas la première fois qu'on le remarque, les canadiens sont les "rois du collectif". Ils semblent en effet avoir pris l'habitude de monter des groupes avec beaucoup de membres, des mini orchestres Indés, d'Arcade Fire aux New Pornographers, sans oublier Broken Social Scene. Avec 'seulement' 5 membres au compteur Mother Mother serait presque un petit groupe, sauf que musicalement parlant, il a tout d'un grand.
NADA SURF – If I Had A Hi-Fi (2010)
Soyons francs, on n'a pas écouté très longtemps 'Lucky', le dernier album de Nada Surf, un disque sympa qui, malgré quelques beaux titres à l'image de 'Whose Authority', commençait à sentir un peu le réchauffé après 'The Weight Is A Gift', comme si la voie du groupe était désormais toute tracée, sans surprises. Tout cela est souvent synonyme d'une mort lente. Pire encore : la sortie d'un album de reprises.
THE DIVINE COMEDY – Bang Goes The Knighthood (Edition limitée 2 CDs – 2010)
Suite à son départ du label EMI, The Divine Comedy fête aujourd'hui son retour dans le monde des Indés (après Setanta, durant les années 90) pour un nouvel album qui allie une fois encore élégance et humour. Chez Neil Hannon, l'homme derrière l'appellation 'Divine Comedy', les albums se suivent et se ressemblent souvent, mais pas totalement. En fait ce que l'on apprécie vraiment , c'est sa longévité, son inspiration toujours intacte après 10 albums et pas loin de 20 ans de carrière.
FOALS – Total Life Forever (2010)
Foals est arrivé il y a deux ans comme un cheveu sur la soupe, en s'imposant avec un Math Rock intelligent et surtout accessible, notamment en raison des influences plus Punk Pop comparables à Bloc Party qui s'immisçaient dans leurs compositions. Du travail d'orfèvre qu'il allait être bien difficile de surpasser, mais surtout de renouveler, car un nouvel 'Antidotes' n'aurait pas apporté grand chose de nouveau à la jeune carrière du groupe.
KAKI KING – Junior (2010)
Ce n'est que très (trop) tardivement que l'on a commencé à vous parler de kaki King, sur son avant-dernier album, 'Dreaming Of Revenge', sorti il y a deux ans. Pourtant on la connaissait déjà depuis un bout de temps, mais on n'avait jamais réussi à se plonger totalement dans l'univers de cette artiste aussi exigeante qu'atypique.