Chroniques express #29 : Carly Blackman, Shearwater, Andrew Bird, Horsegirl, Just Mustard… Chroniques by David Servant - 29 juin 20222 septembre 2022 La 29ème édition de nos chroniques express, avec l’indie folk lumineuse de Carly Blackman, le retour de Shearwater, le voyage introspectif mais séduisant d’Andrew Bird, la relève rock 90’s Horsegirl, et le post-punk hanté de Just Mustard.
La playlist d’avril 2022 En écoute On aime by David Servant - 1 avril 202211 mai 2022 Le meilleur de l’actualité Indie / Folk / Rock du mois d’avril 2022, avec Gwenno, Horsegirl, Claire Days, beabadoobee, Get Well Soon, Florence + The Machine, Katy J Pearson, 50 Foot Wave, Soccer Mommy, Queen Kwong, Angel Olsen, Sir Chloe, Belle and Sebastian, Kate Bollinger, Askjell, Skye Wallace, Jasmyn, Sigrid, Fontaines D.C., Royal Blood, Liam Gallagher, Shearwater, Art d’Ecco, Beach Bunny, Norma, Tess Parks, Andrew Bird, Sharon Van Etten, Tomberlin, Lisa Mitchell, Pillow Queens, Amouë, Coach Party, The Linda Lindas, Muna, Lykke Li, Maxïmo Park, Marie-Pierre Arthur…
Le grand réveil de Shearwater News Vidéos by David Servant - 25 mars 2022 Il aura fallu six longues années au groupe de Jonathan Meiburg pour revenir sur le devant de la scène. Shearwater annonce enfin la sortie de « The Great Awakening », son septième album studio, produit par le groupe et Dan Duszynski (Loma), un disque qui devrait revenir à des amours plus orchestrales, après un « Jet Plane and Oxbow » plus dur et teinté d’arrangements électroniques et d’une touche Pop/Rock plus directe en 2016.
BEST OF 2016 : Le Top de la rédaction Chroniques Classements On aime by David Servant - 16 décembre 201631 janvier 2017 Non non… Vous ne vous trompez pas de page : Radiohead, Pj Harvey, Suede, The Divine Comedy, The Wedding Present, Pixies… Il s’agit bien d’un Best of 2016, bien qu’on aurait cru se retrouver par erreur en 1995.
SHEARWATER – Interview – Paris, vendredi 26 février 2016 Interviews by David Servant - 18 mars 20162 mars 2017 Depuis plus de 10 ans Shearwater nous envoûte avec ses albums poignants, lyriques et rêveurs. L’œuvre d’un amoureux de la nature, Jonathan Meiburg – le seul membre constant et auteur/compositeur du groupe – qui met aujourd’hui face à ses responsabilités son pays, les Etats-Unis, à travers un album engagé et musicalement bercé par les années 80 qui marque une nouvelle ère dans la carrière du groupe.
SHEARWATER – Le Point Ephémère – Paris – vendredi 26 février 2016 Photos by David Servant - 10 mars 201627 août 2016 Retour en photos sur le concert de Shearwater au Point Ephémère, Paris, le vendredi 26 février 2016.
SHEARWATER – Jet Plane and Oxbow (2016) Chroniques by David Servant - 27 janvier 20162 mars 2017 Il s’est passé beaucoup de choses ces dernières années du côté de Shearwater. Nous avions pu le constater à l’occasion de leur concert à la Flèche d’Or en 2014, des changements incessants de line-up, l’arrivée de Jesca Hoop parmi la troupe… Jonathan Meiburg est en fin de compte le seul membre constant de ce groupe à géométrie variable mais dont les autres musiciens, fidèles, reviennent régulièrement.
SHEARWATER – La Flèche d’Or, Paris – mardi 6 mai 2014 Photos by David Servant - 14 mai 201420 juin 2016 Retour en photos sur le concert de Shearwater à la Flèche d’Or, Paris, le mardi 6 mai 2014. Première partie : Jesca Hoop.
SHEARWATER – Fellow Travelers (2013) Chroniques by David Servant - 3 décembre 20132 mars 2017 Après avoir sorti ‘Animal Joy’ l’an dernier, on ne s’attendait pas à retrouver déjà Shearwater avec un nouveau disque après si peu de temps. L’arrivée de cet album nous a vraiment surpris, et la rapidité à laquelle celui-ci est sorti a en fait pris tout son sens à la lecture de quelques infos complémentaires sur sa conception, car ‘Fellow Travelers’ est un album de reprises.
SHEARWATER – Animal Joy (2012) Chroniques by David Servant - 13 mars 20122 mars 2017 Avec ‘The Golden Archipelago’, Shearwater mettait fin il y a deux ans à son épique trilogie musicale entamée par les formidables ‘Palo Santo’ et ‘Rook’. Une formule qui avait fait ses preuves mais qui montrait en même temps déjà un peu ses limites. Sur la fin, l’univers hanté et rêveur des Texans avait convaincu moins de monde, même si de notre côté la passion suscitée fut toujours aussi intense.