La 21ème édition de nos chroniques express, avec le deuxième album de la Montréalaise Ada Lea, MarthaGunn en modèle d'Indie Pop, Colleen Green en mode Indie Rock 90s, les éternels et inspirés Manic Street Preachers, et on pousse enfin les amplis à fond avec Amyl and The Sniffers.
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MANIC STREET PREACHERS – Resistance Is Futile (2018)
MANIC STREET PREACHERS – « International Blue »
Les années passent et les Manic Street Preachers sont toujours bien vivants ! Presque quatre ans après leur dernier album "Futurology", marqué par un passage en Allemagne, c'est aujourd'hui du Japon que les Gallois se rappellent à notre bon souvenir, avec "International Blue", premier extrait de l'album "Resistance Is Futile" qui sortira le 6 avril 2018.
MANIC STREET PREACHERS – Futurology (2014)
Nous n’en avions pas parlé l’an dernier, mais les Manic Street Preachers étaient revenus il y a seulement 10 mois avec l’un de leur disques les plus beaux et personnels, ‘Rewind The Film’, qui avait dû dérouter plus d’un fan de la première heure en mettant les guitares électriques au placard, mais dont la poésie vraiment touchante (sur ‘This Sullen Welsh heart’ ainsi que le titre en duo avec Richard Hawley qui donnait son nom à l’album) faisait merveille.
MANIC STREET PREACHERS – Le Bataclan, Paris – vendredi 23 mai 2014
MANIC STREET PREACHERS – Journal For Plague Lovers (2009)
Si l’on avait considéré le dernier album des Manic Street Preachers comme le sursaut d’orgueil d’une formation vieillissante, autant dire que l’on n’avait encore rien vu ! Back from the dead… On ne croit pas si bien dire, puisque la particularité de ce 9ème album studio, ce sont les textes écrits par Richey Edwards lui-même que le groupe avait conservé bien au chaud jusqu’à aujourd’hui, en attendant le bon moment pour les ressortir et leur faire honneur.
MANIC STREET PREACHERS – Send Away The Tigers (2007)
Qui l’eut cru? S’il y a un groupe que l’on n’attendait pas en 2007 – et plus depuis un bon moment d’ailleurs – ce sont bien les Manic Street Preachers. Ils auraient pu inscrire leur nom dans la légende, mais l’inspiration s’était tarie, et à force de faire de mauvais choix artistiques, enchaînant les albums inégaux, on avait perdu espoir en eux.
MANIC STREET PREACHERS – Everything Must Go (1996)
MANIC STREET PREACHERS – The Holy Bible (1994)
'The Holy Bible' est donc le son d'un groupe plongeant dans le chaos, abordant des sujets aussi joyeux que l'holocauste ("The Intense Humming Of Evil"), la prostitution ("Yes"), l'anorexie ("4st 7lb") et le désespoir en général (tout le reste). Tout cela écrit en grande partie par le guitariste Richey Edwards.