Nous les avons découverts en concert il y a tout juste une semaine, en première partie de Slowdive au Trabendo. Un choix particulièrement judicieux tant la musique de ce jeune groupe français rappelle les ambiances vaporeuses de leurs aînés et de tant de formations qui ont construit la légende de la Dream Pop et du Shoegaze, de My Bloody Valentine à Lush, en passant par d’autres plus récentes comme Tamaryn ou Asobi Seksu.

Découvrez le clip de « 8.50 » :

C’est dans un petit appartement à Paris que Dead Sea compose et enregistre la plupart de ses morceaux. Dans ce processus de composition chaque machine est sélectionnée avec précaution. Le groupe associe une recherche approfondie de textures sonores avec des structures de morceaux qui restent simples et qui se réfèrent directement à leurs principales influences : Shoegaze, Krautrock et IDM (Intelligent Dance Music). Ces instruments répondent aussi à un certain perfectionnisme, ce qui a conduit le groupe à travailler sur ses prochaines sorties officielles pendant un certain temps. En deux ans, ils ont composé quelques dizaines de chansons, mais n’en ont conservé jusqu’à présent que huit.

Au sujet du clip :

« Pour ce clip, on a travaillé avec Dead Sea pour créer un univers futuriste, mystérieux et minimaliste. Caro avait déjà bien réfléchi à l’atmosphère générale du clip, au stylisme, au parti pris architectural et à l’histoire. L’esthétique du film a été conçue pour emmener le spectateur dans cet univers étrange, quelque part entre Under The Skin et Midnight Special. Les effets spéciaux ont été un réel challenge. On a essayé d’ajouter à l’ensemble la beauté plastique d’une publicité de parfum. Notre actrice principale Céline Delaugère était parfaite pour le rôle » – Jean-Charles Charavin.

Pour plus d’infos :

https://www.facebook.com/wearedeadsea/
http://www.wearedeadsea.com/
https://twitter.com/wearedeadsea
https://www.instagram.com/wearedeadsea/