Stephanie Rainey est une auteure-compositrice irlandaise originaire de Cork. Sans argent, sans manager, sans contacts et sans campagne de médias sociaux soigneusement calculée, elle a fait parler d'elle dans des proportions inattendues grâce à un seul titre : "Please Don't Go", une chanson tragique inspirée par la perte de son neveu d'un an, Fionn, de la méningite.
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THE CRANBERRIES de retour avec un Best Of acoustique et une tournée française
LISA HANNIGAN – « Undertow »
LISA HANNIGAN – « Snow »
FIL BO RIVA – En concert le 26 octobre à la Maroquinerie [Pias Nites]
LISA HANNIGAN – Interview – Paris, lundi 12 septembre 2016
Soyons francs, les cinq années qui ont séparé les deux derniers albums de Lisa Hannigan nous ont semblé bien longues, mais pas autant qu’à elle. Noyée dans le doute après la tournée de « Passenger », elle a mis du temps avant de composer de nouvelles chansons à la hauteur de ses attentes, et c’est Aaron Dessner de The National qui marqua le point de départ de ce nouveau chapitre. Une collaboration et un album qu’elle a pris le temps de nous décrire lors de son passage à Paris en première partie de The Divine Comedy à l’occasion des Pias Nites.
LISA HANNIGAN – « Lo »
LISA HANNIGAN – [Pias Nites] – La Maroquinerie – Paris – Lundi 12 septembre 2016
Depuis le sortie de "Passenger" en 2011, Lisa Hannigan nous avait manqué. Ce fut un plaisir de la retrouver à la Maroquinerie dans le cadre de la Pias Nite avec The Divine Comedy, pour un set court et intimiste. Et si vous n'avez pas eu la chance d'assister à son concert, elle sera de retour à Paris au Flow le 3 novembre.
LISA HANNIGAN – At Swim (2016)
Il y a cinq ans la carrière internationale de Lisa Hannigan avait fait un véritable bond grâce à son deuxième album « Passenger » qui venait confirmer, et plus encore, les premiers espoirs portés par « Sea Sew » (2008 - nominé aux Mercury Awards). Mais loin de se lancer tête baissée sur une suite tirant simplement parti de ce succès, elle a préféré prendre son temps pour revenir aujourd’hui avec un album qui, s’il conserve toujours une identité Folk, montre une réelle volonté de s’écarter de son prédécesseur