Anna Ternheim et Stars Are Underground, c’est une vieille histoire d’amour, née d’un coup de cœur qui remonte déjà à 2006, avec la sortie française de son premier album ‘Somebody Outside’. La découverte d’une artiste encore à ses débuts mais déjà bouleversante de sincérité et qui, au fil des albums, s’est construit un parcours bien à elle, loin de tomber dans la facilité liée au grand succès que lui ont apporté ses chansons, au moins en Suède.
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LITTLE MAY – For The Company (2015)
Little May, c’est le nouveau visage de l’Indie Folk australienne incarnée par Liz Drummond, Hannah Field et Annie Hamilton, un trio originaire de Sydney qui avait déjà sorti l’an dernier un premier EP prometteur. De ce premier essai on ne retrouve que deux titres sur leur album, ‘en bonus digital’, ‘Hide’ (qu’il fallait de toute évidence absolument garder) et le très Folk et captivant ‘Boardwalks’; le bon côté de la chose étant bien évidemment que le trio revient avec 11 nouvelles chansons toutes fraîches.
SAINTSENECA – Such Things (2015)
JILL ANDREWS – The War Inside (2015)
FARAO – Le Pop Up du Label – Paris, vendredi 9 octobre 2015
OLIVER COLE – Year Of The Bird (2015)
C’est toujours un peu la même histoire : quand on est jeune et qu’on a envie de faire de la musique on y met toute son énergie, on veut que ça bouge et que l’effet soit instantané. Bref, on veut faire du Rock. C’était le cas pour moi, et j’imagine bien qu’Oliver Cole voyait les choses ainsi il y a une quinzaine d’année lorsqu’il donnait tout ce qu’il avait pour faire de Turn
VILLAGERS – Darling Arithmetic (2015)
Sur {Awayland} sorti en 2013, Villagers avait un peu pris son public à contrepied en incluant une bonne dose d’arrangements électroniques, et plus Rock aussi, dans ses compositions. Un virage admirablement réussi qui le voyait s’écarter un peu de ses racines Folk et qui lui avait valu un ‘Meteor Award’ (Victoire de la Musique Irlandaise) bien mérité.
EWERT AND THE TWO DRAGONS – Interview – Paris, mercredi 8 avril 2015
Ewert And The Two Dragons, c’était la révélation de l’année 2012, le seul groupe Estonien que l’on n’ait jamais connu, capable de rivaliser avec les meilleurs groupes britanniques avec des tubes tels que ‘Good Man Down’ et ‘(In The End) There's Only Love’. Après avoir été révélés en France grâce au précieux label Talitres, les voici chez Sire Records, célèbre label US de Warner Bros Records. Avec un nouvel album, ‘Circles’, à la hauteur de leurs ambitions et de leur nouveau statut. Entretien avec le guitariste Erki Pärnoja à l’occasion de leur concert à Paris en avril dernier.
